09 septembre 2004, 0h00
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Aucun signe ne distingue la villa des maisons voisines. Le commando qui a enlevé avant-hier en plein après-midi les deux responsables italiennes de l’organisation humanitaire Un pont pour Bagdad avait manifestement reconnu son objectif. Les trois véhicules chargés d’une vingtaine d’hommes armés, tous vêtus d’uniformes militaires et de gilets pare-balles, comme les unités spéciales de la police irakienne ou une des sociétés de surveillance qui opèrent en ville, n’ont eu qu’à se garer dans la rue ...
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