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Oswald Grübel pose les bases du redressement d’UBS

8700 suppressions d’emploi pour une réduction de coûts de 4 milliards. Les actionnaires donnent leur feu vert à Kaspar Villiger et à la nouvelle équipe.

16 avril 2009, 0h00
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«Nous sommes payés pour prendre en compte et supporter vos critiques, alors ne nous épargnez-pas. Mais de grâce ne vous déchargez pas de votre mécontentement éventuel sur les collaboratrices et collaborateurs d’UBS. Ils sont inquiets, pris à partie et ils savent que la banque doit drastiquement comprimer ses coûts et qu’ils peuvent en faire les frais». C’est par ces propos que l’ancien président de la Confédération Kaspar Villiger a clôturé son discours après son élection au conseil d’administra...
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