27 avril 2004, 0h00
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La thèse, controversée, qui attribue l’apparition du sida chez l’homme à un vaccin antipoliomyélite oral contaminé par le virus du sida du singe (VIS) est battue en brèche. Une équipe de scientifiques internationaux conduite par Michael Worobey, de l’Université d’Arizona, a démontré au moyen de tests génétiques qu’il n’existe pas de lien entre les formes humaine et simienne du virus. Les résultats de leurs travaux sont publiés dans l’édition du 22 avril de la revue scientifique britannique Natur...
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