01 septembre 2005, 0h00
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Longtemps choyés en raison de la force électorale qu’ils représentaient et parce qu’ils ont nourri leurs concitoyens lorsque les frontières étaient fermées, les paysans suisses sont maintenant en bute à de nombreuses critiques. On se souvient de la lettre ouverte de Charles Poncet à Fernand Cuche, aussi impertinente que peu pertinente, d’une rare vulgarité, mais torchée – c’est le cas de le dire – avec tant de brio qu’on ne pouvait qu’admirer la forme tout en se désolant du fond. Plus récemment,...
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