13 janvier 2004, 0h00
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On peut être parfaitement qualifié professionnellement, et voir clairement l’effet de décisions sur l’économie nationale, mais échouer en politique. Parce qu’on est pas prêt à faire à ses convictions les entorses que les servitudes électorales exigent dans leur logique de faveurs pour services rendus. C’est ce qui ressort essentiellement d’un livre dans lequel le premier gérant du portefeuille de la Trésorerie des Etats-Unis, Paul O’Neill, vide son sac*. Il devait être le premier membre du cabin...
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