24 février 2005, 0h00
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Aux temps anciens de sa gloire, le Parti radical vaudois avait un tic de langage: «On sait qui c’est qui commande ici!» disait-il avec l’accent de Bioley-Orjulaz. Quand George Bush, Condoleezza Rice ou Donald Rumsfeld se déplacent en Europe ou dans d’autres régions reculées de la planète, on sait qui commande le monde. Car toute vie s’arrête quand ces messieurs-dames sortent de chez eux. La faute à nine-eleven, la faute à l’hystérie sécuritaire qui s’est emparée des Etats-Unis depuis lors.
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