«On nous aime», a lancé le conseiller fédéral en charge des Affaires étrangères

Joseph Deiss était beaucoup plus à l’aise, vendredi dernier, au Club de la presse à Genève, qu’il y a quelques mois à l’Hôtel du Rhône dans cette même ville. D’abord parce qu’il a maintenant l’expérience des contacts diplomatiques, expérience qui lui a montré que la Suisse est respectée et appréciée dans l’arène internationale. Ensuite, parce qu’il répondait à la fois soigneusement et sereinement aux très nombreuses questions des journalistes, glissant ici ou là une touche d’ironie. C’est ainsi ...