05 novembre 2008, 0h00
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Il ne suffit pas d’avouer, encore faut-il fauter. Et que mes pairs me pardonnent – ou non – je m’autorise en préliminaire une confesse sans érubescence. Car un premier plaisir en entraîne un autre et l’ivresse du cynisme balaie la honte comme la bise genevoise condamne l’indigent à la pneumonie. Jusqu’à l’overdose, peut-être, selon la dégradation très populaire du vice doux au vice dur. Au début était Chuck Norris, sa barbe, sa coiffe et ses parades version ceinture noire d’Holiday on Ice. Doubl...
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