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«On ne peut pas briser un tabou deux fois»

11 juin 2001, 0h00
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«On ne peut pas briser un tabou deux fois». La phrase, du démocrate-chrétien argovien Guido Zäch, ne manque pas de pertinence. On l’a bien vu hier au Conseil national, qui examinait la nouvelle initiative du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA). Il n’y a consacré que trois heures, alors que le même débat sur la première initiative du genre, en 1988, en avait pris dix. Plus de frissons: la démarche pacifiste a perdu son caractère inédit d’énorme provocation. Quelque part et même si cela peut ...
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