30 décembre 2003, 0h00
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Les Italiens n’ont pas de chance. Ecoeurés par un demi-siècle de gouvernements-kleenex, ils avaient fondé tous leurs espoirs sur la rénovation des mœurs politiques promise par Silvio Berlusconi. Si cet homme est le plus riche d’Italie, se disaient-ils, c’est qu’à défaut d’être honnête – ses prédécesseurs ne l’étaient pas tous – il est au moins compétent. Si, année après année, il a hissé le Milan AC en tête de la Champion’s League, c’est qu’il est un vrai leader.
La réalité est plus prosaïque. ...
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