29 novembre 2005, 0h00
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«Personne n’a fait le moindre engagement réel en matière de libéralisation des services.» Rapportée par un négociateur à l’OMC, cette petite phrase, lâchée il y a quelques jours au sein d’un des comités où se négocie l’ouverture des marchés tertiaires dans le cycle de Doha, dit un blocage autrement plus grave pour l’avenir que celui, archimédiatisé par la mode du «French bashing», de l’agriculture.
A deux semaines du sommet ministériel de Hong Kong, le projet de déclaration soumis samedi aux ...
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