19 octobre 2000, 0h00
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L’homme de Kandersteg y réfléchissait depuis l’été. A 58 ans, sans aucune lassitude face à sa tâche, en pleine forme et travaillant toujours avec le même plaisir, il estime seulement qu’«il faut savoir s’arrêter». S’il fallait d’abord mener à terme les dossiers en cours, on ne s’en irait jamais, dit-il, souhaitant aussi «laisser quelque chose à son successeur».
Il mènera encore la lutte contre l’initiative sur la réduction des dépenses militaires
Autrement dit, le ministre de la Défense mènera e...
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