27 novembre 2009, 0h00
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« La Suisse s’est endormie et est restée accrochée à quelques avantages compétitifs comme le secret bancaire, les forfaits fiscaux ou les statuts spéciaux», regrette Xavier Oberson. L’avocat genevois s’exprimait mercredi soir dans une conférence intitulée «Genève, quel avenir après les banques?», organisée à Genève par la Jeune Chambre Internationale, et à laquelle ont également participé le conseiller d’Etat François Longchamp, Adrienne Corboud Fumagalli, vice-présidente pour l’innovation et la...
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