18 décembre 2008, 0h00
Partager
Il y a quelque chose de pourri au royaume de la haute finance. D’Arthur Levitt, ancien président de la Securities and Exchange Commission (SEC) et actuel conseiller senior du groupe Carlyle, à Marc Faber, de l’entreprise de gestion éponyme, les vitupérations fondent sur les organes de surveillance américains après l’éclatement de l’affaire Madoff (lire nos éditions du 15 et du 16 décembre). Dans un communiqué publié hier, Genève Place Financière soulignait également que «le tort que Madoff a pro...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT