06 décembre 2005, 0h00
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Il y a quelques mois, sa petite formule avait fait florès. Renoncer à enrichir l’uranium contre une coopération nucléaire, commerciale et politique offerte par les Européens, c’est, disait-il, «accepter d’échanger une perle contre un bonbon». Aujourd’hui, Ali Larijani, ancien chef de la radiotélévision d’Etat, récemment propulsé à la tête du Conseil suprême de la sécurité nationale, campe, plus que jamais, sur ses positions. «L’Iran veut défendre son droit à l’enrichissement», déclarait-il hier ...
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