05 avril 2004, 0h00
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Novartis continue de tourner autour d’Aventis malgré les menaces voilées du gouvernement français. Le groupe a de bonnes raisons. Les bénéfices financiers d’une fusion entre les deux entreprises pharmaceutiques seraient tels qu’ils étouffent le calvaire politique. La clé se trouve dans les réductions de coûts. Sanofi, l’autre acheteur potentiel, a promis une réduction de coûts avant impôts de 1,6 milliard d’euros avec des charges payables d’avance de 2 milliards d’euros. Novartis pourrait faire ...
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