11 juillet 2008, 0h00
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Le sort de Speedel est scellé. Novartis a lancé, hier, une OPA sur son partenaire spécialisé dans les traitements thérapeutiques cardiovasculaires et les troubles métaboliques. Plus particulièrement sur son ancien spin-off, dont il détenait jusqu’alors 9,7% du capital (lire aussi en page 8). Comme dans les plus grands casses de l’histoire, le géant pharmaceutique bâlois avait depuis fort longtemps repéré sa proie, et pris le temps de régler tous les détails. Pendant dix ans, le géant s’est tapi ...
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