24 mars 2004, 0h00
Partager
Un point pour Novartis. L’entreprise suisse a pris le gouvernement français au dépourvu en déclarant qu’elle agirait en chevalier blanc pour son concurrent français, Aventis, si Paris reste neutre. Ces déclarations ont mis le gouvernement français dans l’embarras. Jean-Pierre Raffarin, le Premier ministre français, a récemment tenu des propos curieux en soutenant qu’une reprise d’Aventis par un groupe étranger pourrait compromettre la capacité de la France à se défendre contre le bio-terrorisme....
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT