17 septembre 2012, 22h52
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Le marché gigantesque des dérivés doit avoir achevé le changement de paradigme le plus important de son histoire d’ici la fin de l’année. Les régulateurs exigent que tous les contrats de dérivés standardisés négociés de gré à gré (OTC), dont le volume est estimé à 648.000 milliards de dollars, passent par une chambre de compensation centralisée (CCP). Pour couvrir le risque d’un éventuel défaut, la CCP doit demander des traders un collatéral sous forme d’un actif considéré comme sûr. Quant au mo...
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