08 septembre 2009, 0h00
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guillaume meyer
D’un côté, Swisscom, leader suisse des télécoms, propriétaire des réseaux de téléphonie fixes et mobiles du pays. De l’autre, les opérateurs concurrents, mécontents des tarifs pratiqués par Swisscom pour l’accès à ses infrastructures. Au milieu, un régulateur sectoriel, la Commission de la communication (Comcom), qui juge ses prérogatives trop limitées pour intervenir opportunément contre les abus de position dominante. Soutenue par la Comco et le Surveillant des prix, la Comcom...
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