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«Nous sommes désormais entrés dans une phase de prix élevés de l’énergie»

Pour Nicolas Sarkis, directeur du Centre arabe d’études pétrolières à Paris, le secteur a besoin de prix rémunérateurs pour ses investissements.

11 août 2004, 0h00
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Le prix du brut a atteint de nouveaux sommets – franchissant hier, en cours de séance, les 45 dollars – et le seuil psychologique des 50 dollars n’est plus envisagé comme infranchissable. L’ère des prix de l’énergie bon marché est révolue, il faut s’y habituer, insiste le directeur de la revue Le Pétrole et le Gaz arabes et du Centre arabe d’études pétrolières à Paris Nicolas Sarkis. Quel est le poids de la situation actuelle en Irak dans le prix du pétrole? Cette nouvelle flambée de viole...
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