22 août 2000, 0h00
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Les affaires Marcos et Mobutu, et tout récemment encore du dictateur nigérian Abacha, ont attiré l’attention sur la place financière helvétique. Les banquiers ont été accusés de manquer de sens éthique et de profiter de l’argent de potentats souvent acquis sur le dos des populations locales. Hier, les banquiers suisses se sont défendus et ont pris position de manière on ne peut plus claire dans ce dossier. «Nous ne voulons pas l’argent des potentats» a déclaré explicitement Beat Hubacher du Cred...
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