19 mai 2008, 0h00
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Le capitalisme global dépend encore pour beaucoup des valeurs et des structures locales. Tel pourrait être le message à retenir du 38e Symposium de Saint-Gall, qui a fermé ses portes samedi matin par un dernier ensemble de conférences donnant un bon aperçu de ce que signifie la globalisation aujourd’hui comme facteur de bien-être, mais aussi d’amplificateur de la crise financière et alimentaire. «Nous avons été étonnés de constater que le thème de discussion défini en octobre passé gagnait jour ...
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