04 janvier 2000, 0h00
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L’année 1999, s’est terminé sur une angoisse. L’an 2000, à l’inverse, démarre dans un grand soupir de soulagement suivi d’une vague d’espoir sans borne: Désormais rien ne pourra plus freiner notre essor économique (hormis, peut-être, M. Greenspan et son arme favorite, les taux directeurs). Et pourtant, le bogue a ses nostalgiques. Pas seulement ceux (ils étaient nombreux) qui se sont bien amusés en cette soirée de réveillon aux feux d’artifices plus brillants qu’à l’accoutumée. Mais aussi toutes...
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