22 novembre 2006, 0h00
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Trois nouvelles retenaient notre attention hier. L’une en provenance des Nations Unies. Par la voix de Kofi Annan, cette institution nous donnait l’un des meilleurs diagnostics sur l’Irak qu’on ait jamais entendu: les Etats-Unis, pour le secrétaire général de l’ONU, sont pris au piège en Irak, car «ils ne peuvent pas y rester, mais ne peuvent pas non plus en partir». Pour une fois, pas de langue de bois, mais une analyse lucide qui n’est pas diluée dans une soupe douceâtre de bonnes intentions e...
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