14 septembre 2005, 0h00
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Derrière la gare centrale d’Oslo, loin des façades classiques ocre et vert amande et des coquettes maisons en bois des quartiers résidentiels, se dressent les immeubles de bureau sans charme de l’avenue Gronland. Sur le trottoir, les grand-mères norvégiennes poussant leurs déambulateurs croisent des femmes en sari et des jeunes d’origine somalienne ou érythréenne. Ici, la plupart des commerces sont tenus par des Pakistanais et des Turcs. Comme la plupart des capitales européennes, Oslo est deven...
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