16 novembre 2006, 0h00
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Une majorité d’Américains, assez nette pour être décisive, mais loin d’être écrasante, refusait, la semaine passée, de continuer sur le chemin de la gloire qu’avait promis George Bush, fils téméraire d’un père notoirement prudent. C’était un refus opposé au conflit devenu non glorieux, coûteux et sans issue, mais un refus qui n’offrait aucune alternative.
Il y a, aujourd’hui, ceux qui s’opposaient toujours à la guerre, une petite minorité. Il y a ceux qui, l’ayant approuvée, s’en détournaient p...
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