21 avril 2005, 0h00
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On vous le disait hier dans l’édito de «L’Agefi», le nom d’un pape n’est en général pas innocent – encore qu’il y ait eu des Innocent numérotés de I à XII de l’an 401 à l’an 1700. Ainsi, si Josef Ratzinger a choisi le nom de Benoît XVI, c’est vraisemblablement parce qu’il se sentait d’une certaine manière l’héritier du pape restaurateur Benoît XV. «Nomen est omen», professe une maxime latine. En d’autres termes, le nom est un signe. Jean Paul Ier avait voulu invoquer une double filiation de Jean...
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