06 septembre 2011, 0h00
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L'ultimatum apparemment posé par les autorités judiciaires américaines à plusieurs banques suisses – dont Credit Suisse et une dizaine d'autres – a sensiblement altéré le sentiment de satisfaction induit par les deux accords fiscaux sur l'impôt libératoire paraphés le mois derniers avec l'Allemagne et la Grande-Bretagne. La limite à ne pas dépasser est toutefois clairement balisée par Patrick Odier, le président de l'Association suisse des Banquiers (ASB). L'accord de portée universe...
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