30 avril 2009, 0h00
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La banque d’investissement Natixis pourrait encore déprécier ses actifs illiquides, d’une valeur d’environ 50 milliards d’euros, a dit mercredi François Pérol, patron de Caisse d’Epargne et Banque populaire, maisons mères de Natixis. «Les conditions de marché actuelles font que ces actifs sont soumis à des +stress+ importants qui pourront conduire à de nouvelles dépréciations», a expliqué M. Pérol devant la commission des finances du Sénat. Il était auditionné sur le rapprochement entre Caisse d...
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