29 janvier 2008, 0h00
Partager
Appelez cela une cure de jouvence pour les sciences de l’ingénieur, ou l’injection d’une légère substance dopante dans un monde qui les autoriserait. Voilà des années que la Suisse mène une politique active dans le domaine de la recherche. On se souvient des programmes nationaux de recherche, puis des pôles de recherche nationaux, les uns comme les autres servant à mettre l’accent sur des domaines scientifiques jugés prioritaires et utiles à l’avenir du pays. Jusqu’ici, il s’agissait très souven...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT