10 décembre 2001, 0h00
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On ne cesse de le répéter, le monde est devenu plus complexe, plus difficile à cerner. L’Etat du monde ne peut plus se résumer à la fracture nord-sud, au conflit est-ouest. Et pourtant, nos schémas de pensée, notre éducation, restent marqués par l’empreinte figée du temps, comme si rien n’avait changé. Dans les états-majors du Département fédéral des affaires étrangères, un homme, Jean-Daniel Clavel n’a cessé de le dire, de l’écrire aussi.
Aujourd’hui, il ne se contente plus du discours. Il pass...
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