24 juillet 2008, 0h00
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En été, le monde retend sa conscience, comme le pubère que j’ai été aimait à tirer sur les bretelles coquines de ma copine Annabelle lorsqu’elle sortait du grand bassin de la piscine des Ecureuils. On voit là que la bonne conscience ne tient pas à grand chose et que la culpabilité lui emboîte le pas. La distance qui les sépare n’est pas plus épaisse qu’un poil de la barbe d’hermine du poète Karadzic. Ce grand malin de l’été, qui a dupé les autorités pendant treize ans avec un déguisement que l’i...
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