08 mars 2000, 0h00
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Le procédé consiste à prendre un virus de la rage affaibli pour acheminer une partie de l’enveloppe extérieure du VIH jusqu’à une cellule de l’animal, contraignant ainsi le système immunitaire à produire ses propres anticorps contre le VIH.
«Cette approche, pour l’instant limitée aux essais sur la souris, donne des espoirs pour la mise au point finale d’un tel vaccin contre le VIH chez les humains», ont estimé les Dr Matthias Schnell et Roger Pomerantz, à la tête d’une équipe de chercheurs du ce...
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