02 mars 2000, 0h00
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Les flux financiers continuent à s’orienter vers les valeurs qu’il faut avoir pour montrer que l’on s’adapte à l’environnement nouveau. Le problème c’est la différence de taille, de capacité d’absorption des récipients par rapport à des flux aussi incompressibles qu’est l’eau. Alors l’inévitable se produit, le récipient à faible capacité finit par gonfler comme une baudruche. Ce qui se traduit par une part toujours plus grande de la capitalisation relative des titres des secteurs télécom, inform...
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