22 janvier 2010, 0h00
Partager
Il faudra à nouveau se satisfaire de cette explication. La même depuis que Migros est monté de manière très agressive dans le capital des entreprises cotées, suisses, Charles Vögele et Kuoni: «c’est un investissement financier». Circulez, il n’y a rien à voir, pourrait-on ajouter. Mais ce «no comment», qui a été encore confirmé hier, est tout de même problématique, même sans commencer à imaginer des regroupements ou des offres publiques d’achat, accompagnés de l’influence qu’ils pourraient avoir...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT