15 novembre 2005, 0h00
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Si Jean-Claude Trichet s’était montré apaisant au terme de la dernière réunion du Conseil des gouverneurs, ses confrères multiplient les avertissements depuis quelques jours. Cette répartition des rôles est finalement assez logique: la décision de maintenir le taux de refinancement à 2% réclamait une argumentation en faveur du statu quo. Des avertissements trop explicites et un accent trop prononcé sur les risques d’inflation auraient requis un resserrement immédiat de la politique monétaire, ma...
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