22 mars 2004, 0h00
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C’est une bonne chose que la Commission européenne et Microsoft placent leur dispute concurrentielle devant une cour. Le dernier accord, maintenant abandonné, n’avait guère de chance de voir l’éditeur de logiciels accepter de réelles restrictions sur sa capacité à récolter sa part de 95% des systèmes opérationnels pour PC. Si l’accord avait passé, il n’aurait de toute façon été qu’un faux-fuyant. Au lieu de cela, une décision de justice créera un précèdent important pour la législation anti-trus...
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