08 juillet 2009, 0h00
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Après six mois de présidence, Hans-Rudolf Merz en redemande. Il juge son bilan positif. Une autre demi-année ne lui fait pas peur. Mais il ne suit pas ceux qui affirment qu’un prolongement de la durée présidentielle serait la bonne réponse aux défis du monde. «Les temps sont difficiles», admet le pompier Merz qui verse de l’eau sur tous ces dossiers brûlants, que ce soient les différends avec Bruxelles, les démêlés d’UBS avec la justice américaine ou les otages suisses retenus en Lybie. Mais il ...
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