03 septembre 2003, 0h00
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La révolution permanente, telle était l’obsession de Trotski! Sans soubresauts quotidiens, la bourgeoisie reprendrait toujours le pouvoir.
On a l’impression que Stan O’Neal, le président de Merrill Lynch, aime, lui aussi, l’idée de révolution permanente. Juste après avoir gagné dans une épreuve de force, il est maintenant prêt à s’embarquer dans une réorganisation automnale. Or, ne l’oublions pas, il n’y a même pas deux ans que Merrill prenait la tête de son secteur dans une stratégie de retrai...
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