12 janvier 2004, 0h00
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La présentation des perspectives d’investissements de la banque Merrill Lynch, la semaine dernière à New York, tournait autour d’un étrange paradoxe. Alors que cambistes, spécialistes des obligations et autres stratèges des marchés actions se sont relayés pour expliquer le peu d’attractivité des différentes classes d’actifs libellés en dollars, la liste des recommandations des titres de Merrill Lynch surpondère les titres américaines. 19 sur 27.
Interrogé sur ce mystère, David Bowers, qui est...
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