25 mai 2005, 0h00
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La campagne électorale devrait compliquer la tâche de la diplomatie allemande en Europe. En cas de victoire d’Angela Merkel, la politique étrangère connaîtrait de nouvelles inflexions dans des domaines aussi importants que la coopération avec la France, les relations transatlantiques ou encore les rapports avec la Russie. En surface, les joutes préélectorales ne pèseront en rien sur l’activité de Gerhard Schröder. Le chancelier reçoit dans une semaine le président israélien Moshe Katsav. Il se r...
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