12 mai 2006, 0h00
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Comme si elle redoutait de devoir promettre l’impossible, Angela Merkel est restée vague à souhait sur la manière dont elle conçoit la prochaine présidence allemande de l’Union européenne, au premier semestre de 2007. Elle n’a laissé aucun doute, hier devant le Bundestag, sur son intention ferme de «sauver» le projet constitutionnel qui est dans l’impasse après les référendums négatifs en France et aux Pays-Bas. «Nous en avons absolument besoin» pour faire vivre l’Europe, a-t-elle dit. Mais elle...
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