19 juillet 2007, 0h00
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Berlin planche sur un moyen de protéger ses industries clés contre l’appétit des fonds publics venus de Russie ou de Chine, qui contrairement aux fonds spéculatifs sont soupçonnés d’être moins obnubilés par la rentabilité que par l’accès aux technologies de pointe.
Berlin fait valoir le principe de réciprocité
La force de frappe financière de ces fonds étatiques, en particulier ceux alimentés par la Chine, la Russie ou les monarchies pétrolières du Golfe, a atteint «une dimension inédite», a d...
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