07 mai 2001, 0h00
Partager
Dégoût. Consternation. Désolation. Les mots arrivent parfois à court pour décrire les ravages de la révélation historique, même lorsqu’il est fait profession de les accorder au mieux de sa pensée. C’est le constat sur lequel s’achève la lecture des mémoires du général Aussaresses: Services spéciaux, Algérie 1955-57, publiées aux éditions Perrin.
Pour le général Aussaresses «tous les moyens étaient bons pour (les) faire parler» Même la mort. Et même si les morts ne parlent pas. Evoquant le massac...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT