27 février 2007, 0h00
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Des milliards de neurones, des milliards de connexions, et au bout du compte, une intelligence inégalée. On ne s’étonnera pas que le cerveau humain soit aujourd’hui un objet d’étude et de recherche privilégié.
Sa plasticité, autrement dit la capacité du cerveau à mobiliser une région X pour compenser par exemple la lésion subie par une région Y, fait l’objet de toutes les attentions. L’enjeu thérapeutique est évident. Si seulement on savait diriger artificiellement cette plasticité chez l’être ...
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