09 mars 2001, 0h00
Partager
Avec l’intégration au groupe Ford, qui a porté sa participation à plus de 33% en 1996, Mazda s’est trouvé en porte-à-faux dans la stratégie globale du numéro deux mondial élargi.
Constructeur «généraliste» produisant une gamme complète allant de la petite 121 à la grande Xédos 9 en passant par ses chevaux de bataille populaires 323 et 626, sans oublier les monospaces Démio, Premacy et MPV ainsi que le petit cabriolet MX5 et la sportive RX7 à moteur rotatif, Mazda s’est retrouvé en conflit avec u...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT