24 janvier 2005, 0h00
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Oui, Marie-Françoise Frey était capable d’apprécier le caractère illicite de ses actes au moment où elle les a commis, entre 1993 et 1998. Non, les conclusions de l’expert psychiatre, qui concluait à son irresponsabilité pénale, ne sont pas convaincantes. Le Tribunal correctionnel de Neuchâtel s’en est donc écarté. Et a condamné hier l’ex-avocate à six mois d’emprisonnement avec sursis pendant deux ans, la reconnaissant coupable d’abus de confiance répétés dans l’exercice de sa profession. Il a ...
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