13 mars 2001, 0h00
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«Excusez-nous du dérangement, mais ceci est une révolution.» Ce sont les premières paroles de Raphaël Sebastian Guillen, alias «sub-commandante Marcos.» Quant à son nom à l’état civil, s’il n’a jamais fait l’objet d’une confirmation de la part de Marcos, il n’a pas non plus été démenti par ses soins. On oserait presque dire par son service de presse tant il est établi que Marcos est un pro de la communication, ne se laissant photographier qu’à bon escient, sachant diviser ses interlocuteurs se d...
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