14 juin 2005, 0h00
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Le régime iranien accusait hier les séparatistes arabes d’être les auteurs des attentats meurtriers de la veille et assurait que ces attaques ne dissuaderaient pas les électeurs de voter vendredi à la présidentielle. Les quatre candidats ultraconservateurs ne sont toujours pas parvenus à s’entendre sur un seul d’entre eux, au risque de laisser le réformateur Mostafa Moïn défier le favori Akbar Hachémi Rafsandjani (photo) dans un second tour dont la perspective se précise, pour la première fois s...
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